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• la nécessité d’une qualité incontestable des activités créatrices ;
• la recherche d^’un contact direct avec tous les publics ;
• la meilleure répartition de 1’implantation géographique des

C.N.C.C.

De ce fait, il serait mis fin aux modèles de préfiguration des Maisons de la Culture.

IV- L’ACTION THEATRALE

La notion de troupe permanente serait supprimée à terme. Le Ministère réexaminerait sa politique d’aide afin d’éviter un saupoudrage des crédits. Il entendrait privilégier les Compagnies Théâtrales faisant des créations ; il favoriserait ainsi l’émergence d’hommes de théâtre nouveaux.

A ces Compagnies, l’Etat fournirait des lieux (Maisons de la Culture ou non) selon l’intérêt porté aux oeuvres et aux créateurs

L’Action Culturelle serait ainsi développée :

1. sous la forme d’une Action Culturelle spécifique des C.N.C.C. ;
2. par les quelques Maisons de la Cultures maintenues ;
3. sur le modèle d’une Action Culturelle rénovée et encouragée selon la qualité des oeuvres ou des hommes qui l’exercent.

C’est ainsi notamment que :

1. seraient constitués les C.N.C.C. suivants : T.E.P.,

LE HAVRE, CAEN, Comédie de SAINT-ETIENNE.

1. la Maison de la Culture de THONON sera supprimée ; celle de SAINT-ETIENNE deviendra théâtre municipal.
2. Les Maisons de la Culture d’AMIENS, BOURGES, GRENOBLE,

REIMS, RENNES, CHALONS seront conservées. Le cas d’ANGERS demeura à l’étude.