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PAUTHE au nom du comité de liaison fait un bref historique des réunions des délégués du personnel, définit quel est notre volonté d’action et expose l’état actuel de nos travaux et revendications.

• Volonté de travail parallèle au comité de Villeurbanne
• Possibilité d’exercer notre réflexion et action collective (problème des défraiements, de la représentativité des délégués, lieu de réunion et d’information dans les établissements, etc…)
• Détail des commissions :

1. Conventions collectives
2. Action culturelle

• Nécessité de l’information au niveau comité de Villeurbanne – Comité de liaison (pour éviter malentendus regrettables)
• Paire front commun devant tout autre interlocuteur (Ministère, Municipalités, Associations).

JEANSON et DEBAUCHE définissent la situation actuelle –

• Les Affaires Culturelles ne peuvent garantir actuellement le collectif
• Par contre, d’après JEANSON ils n’ont aucune chance de survivre s’ils ne l’obtiennent pas.
• Les personnels ont eu tendance à surestimer le pouvoir actuel du Comité de Villeurbanne.
• Celui-ci deviendra un réel pouvoir si MALRAUX obtient ce qu’il demande dans le collectif.
• Sinon, MALRAUX n’a plus qu’à se faire hara-kiri et tout est à revoir.
• Pour l’instant le C.P.V. ne peut qu’être solidaire du personnel sur le plan des salaires mais ne peut rien tant que sa reconnaissance ne sera pas effective.
• Le vrai chemin pour construire passe par la vision claire de la situation française : rien de nouveau ne sera possible sans assurance des affaires culturelles en ce qui concerne la plateforme de Villeurbanne.